Le chiffre du mois
Entraînement en ligne en cas de troubles psychiques: le participant le plus âgé avait 89 ans

santé24 propose des programmes d’auto-assistance en ligne sur sept thèmes différents aux personnes souffrant de troubles psychiques. Une analyse interne révèle que l’âge n’a pas d’importance pour que la participation soit réussie: les personnes participantes ont entre 18 et 89 ans.

En cas de troubles psychiques, les «enfants du numérique» ne sont pas les seuls à tirer un bénéfice des programmes d’auto-assistance en ligne. L’analyse anonyme de santé24 révèle que la personne participante la plus âgée avait 89 ans, tandis que la plus jeune avait 18 ans. L’âge médian se situait à 41 ans (ce qui signifie que la moitié des personnes participantes avait plus de 41 ans et l’autre moitié moins de 41). À partir de ces chiffres, Birgit Schmid, psychologue chez santé24, tire la conclusion suivante: «L’âge ne joue donc pas de rôle déterminant pour que la participation à un programme d’auto-assistance en ligne soit un succès.»

Les troubles psychiques sont largement répandus dans la population. Il s’agit du groupe de maladies générant les coûts les plus élevés au sein du système de santé suisse. C’est ce que révèle une étude de SWICA et de la Haute école zurichoise de sciences appliquées (ZHAW) publiée il y a peu.

Les personnes souffrant de symptômes psychiques légers à modérés ont de bonnes chances de les atténuer et d’améliorer leur santé mentale avec les programmes d’auto-assistance en ligne de santé24. Ces derniers peuvent éventuellement aussi permettre de surmonter la période précédant le début d’une psychothérapie ambulatoire. santé24 propose des programmes sur sept sujets différents. Ils ont été testés scientifiquement et permettent aux personnes participantes de traiter les différentes leçons de manière autonome et à leur rythme, peu importe l’endroit où elles se trouvent. Une ou un coach personnel les accompagne et leur fournit régulièrement des feedbacks.

03.04.2024


Chez les femmes de 65 ans et plus, les frais d’accident dépassent de 60 % ceux des hommes

Avec l’âge, les femmes génèrent des frais d’accident plus élevés que les hommes. Cela est d’une part dû au fait qu’elles vivent plus longtemps et d’autre part au fait qu’elles sont plus souvent concernées par des chutes aux conséquences graves. La prévention des chutes est donc particulièrement importante pour les personnes âgées. SWICA propose de nombreuses offres dans ce domaine.

 En Suisse, les accidents sont à l’origine de 8,4 % des dépenses de santé. Ils se classent donc au quatrième rang des groupes de coûts. Seuls les troubles psychiques, les maladies de l’appareil locomoteur et les maladies neurologiques génèrent plus de frais. C’est ce que révèle une étude approfondie sur les coûts de la santé en Suisse réalisée par SWICA et la Haute école zurichoise de sciences appliquées (ZHAW).

Une analyse récente de la recherche sur l’offre de soins de SWICA au sujet des frais d’accident a permis d’arriver à des conclusions plus poussées: les femmes de plus de 65 ans sont particulièrement concernées, car leurs frais d’accident s’élèvent à 29 francs par mois en 2017, ce qui correspond à 60 % de plus que pour les hommes du même âge (18 francs). Chez les moins de 65 ans, la situation est différente: selon l’étude, les coûts générés par les accidents sont plus importants chez les hommes. Cette différence s’explique notamment par le nombre plus élevé de femmes qui atteignent un âge avancé, leur espérance de vie étant plus longue que celle des hommes. Par ailleurs, les femmes sont plus souvent atteintes d’ostéoporose. En cas de chute, les fractures et les séjours à l’hôpital deviennent alors plus fréquents, notamment avec l’âge.

Il existe des mesures préventives pour éviter les chutes afin de permettre aux personnes âgées de conserver leur autonomie et leur qualité de vie. SWICA s'engage en faveur de la prévention des chutes et soutient de nombreuses offres dans ce domaine. santé24 offre aux personnes concernées par ce risque de l’évaluer et propose des consultations sur le thème de l’alimentation et de l’activité physique.

08.03.2024


20 000 hospitalisations par an dues à des erreurs de médication

Les erreurs de médication sont fréquentes, même en Suisse. C’est pourquoi l’Hôpital cantonal de Winterthour, Medbase et SWICA souhaitent, dans le cadre de Trio+, améliorer la sécurité de la médication des patientes et des patients.

Effets secondaires indésirables, interactions ou médicaments inappropriés: les erreurs de médication sont fréquentes. Selon l’Organisation suisse des patients, plus de 20 000 séjours hospitaliers par an sont dus à des problèmes liés à la médication. Une personne hospitalisée sur dix est victime d’erreurs de médication ou d’effets indésirables.

Les entrées et les sorties d’hôpital sont des moments particulièrement risqués en ce qui concerne la médication. C’est pourquoi l’Hôpital cantonal de Winterthour, Medbase et SWICA souhaitent, dans le cadre de Trio+, améliorer la sécurité de la médication des patientes et des patients. Depuis 2022, ces trois partenaires basés à Winterthour collaborent pour faire progresser les soins intégrés dans la région. Une coopération qui permet d’œuvrer de manière idéale en faveur d’une plus grande sécurité lors de la remise et de la prise de médicaments. En effet, c’est souvent lors de l’entrée et de la sortie de l’hôpital ou lors du passage d’un traitement ambulatoire à un traitement hospitalier et inversement que des informations se perdent. C’est pourquoi les partenaires travaillent à l’amélioration de la documentation et à l’optimisation de la communication tout au long de la chaîne de traitement.

07.02.2024


Covid long: 57 % des personnes interrogées se sentent en meilleure santé

125 personnes ont déjà pris part au programme d’accompagnement des cas de Covid long ou de post-Covid de santé24. Une enquête de SWICA montre que le programme de télémédecine a été extrêmement utile dans la plupart des cas.

En septembre 2021, santé24 a lancé un programme d’accompagnement de télémédecine pour les cas de Covid long ou de post-Covid. Au total, 125 personnes ont déjà pris part à ce programme ou sont encore en cours de traitement. Le service de recherche sur l’offre de soins de SWICA a analysé les résultats d’une enquête. 57 personnes ont répondu à l’enquête. Trois quarts étaient des femmes, et l’âge moyen était de 41 ans. 

Après le programme: 

  • 73 % des personnes interrogées ayant des problèmes de mobilité ont signalé une amélioration dans ce domaine;
  • 80 % des personnes interrogées rencontraient moins de problèmes dans les activités de la vie quotidienne;
  • 83 % des personnes concernées avaient moins de douleurs ou se sentaient mieux dans leur peau;
  • les troubles anxieux ou dépressifs avaient reculé chez 82 % des personnes concernées;
  • 57 % des personnes interrogées estiment que leur état de santé s’est amélioré par rapport au début du programme.

Les personnes participantes ont attendu en moyenne neuf mois environ après leur test Covid positif (soit environ cinq ou six mois après le diagnostic de Covid long ou de post-Covid) avant de débuter le programme. En moyenne, les personnes participantes sont restées sept mois dans le programme.

03.01.2024


Plusieurs médicaments sur une période prolongée: la polypharmacie en constante progression

De plus en plus de personnes âgées doivent prendre plusieurs médicaments à la fois sur une période prolongée en raison de différentes maladies, souvent chroniques. Or, les effets de la polypharmacie sont encore largement méconnus.

La probabilité de contracter une maladie chronique augmente avec l’âge. De plus, de nombreuses personnes âgées sont multimorbides, c’est-à-dire qu’elles souffrent de plusieurs maladies. Lorsque chacune de ces maladies est soignée conformément aux directives médicales, plusieurs médicaments sont prescrits simultanément sur une période prolongée. On parle alors de polypharmacie. 

Le problème est qu’il n’existe que très peu d’études sur les effets d’une médication continue avec différents médicaments. Les études sur certains médicaments spécifiques excluent même souvent explicitement les personnes âgées multimorbides. Bien qu’on ait de plus en plus conscience des risques liés à la polypharmacie, celle-ci ne cesse de progresser: en 2018, elle concernait 25 % des personnes assurées SWICA âgées de 65 à 79 ans contre 28 % déjà en 2022. Dans la tranche d’âge des plus de 80 ans, la part des personnes concernées par une polypharmacie durable était déjà de 49 % en 2022, soit une augmentation de 6 % par rapport à 2018. 

SWICA offre un soutien sur les questions relatives aux thérapies médicamenteuses. Les personnes assurées peuvent bénéficier gratuitement des conseils sur les médicaments de santé24.

06.12.2023


Maladies psychiques: plus de traitements, principalement chez les jeunes adultes

Chez SWICA, les dépenses pour les maladies psychiques ont augmenté de 19 % depuis 2018. Fait inhabituel pour notre système de santé: les jeunes adultes perçoivent bien plus de prestations que les personnes plus âgées.

Les personnes qui se font traiter pour des symptômes psychiques sont de plus en plus nombreuses. En 2022, SWICA a payé 173 francs par personne pour des prestations psychiatriques et psychothérapeutiques dans le cadre de l’assurance de base. En 2018, ce montant s’élevait à 146 francs, soit 19 % de moins. L’analyse en fonction du groupe d’âge révèle un fait inhabituel dans le système de santé: c’est en effet chez les jeunes adultes (entre 21 et 25 ans) que les coûts par personne et par an sont les plus importants. Par ailleurs, ils ont connu une augmentation significative de 55 % dans cette tranche d’âge. En revanche, chez les plus de 70 ans, les dépenses moyennes, peu élevées, sont restées constantes. 

SWICA s’engage à plusieurs niveaux dans le domaine de la santé psychique. santé24, le service de télémédecine de SWICA, propose par exemple des consultations psychologiques et psychiatriques et des cours d’autogestion en ligne pour remédier à différents symptômes. WorkMed, une joint-venture de SWICA et de Psychiatrie Bâle-Campagne, se consacre au thème des charges psychiques au poste de travail.

08.11.2023


323 millions de francs pour des médicaments particulièrement coûteux

Certaines maladies sont soignées à l’aide de médicaments particulièrement coûteux. Chez SWICA, les dépenses enregistrées dans ce domaine ont augmenté d’environ 42 % entre 2017 et 2022.

Ces dernières années, le nombre de thérapies particulièrement onéreuses a nettement augmenté, une hausse qui se ressent également dans les dépenses en médicaments. En 2017, plus de 10 000 francs ont été dépensés pendant l’année pour environ 1,1 % des personnes ayant une assurance de base chez SWICA. En 2022, c’était déjà le cas pour 1,5 % des personnes assurées. En francs, les coûts ont ainsi augmenté de 209 millions de francs à 323 millions, soit une progression de 54 %. 

323 millions de francs correspondent à environ 42 % de l’ensemble des coûts en médicaments occasionnés par les personnes ayant une assurance de base chez SWICA. 

09.10.2023


12,8 %: c’est la hausse des coûts de santé chez SWICA entre 2018 et 2022

Les dépenses de l’assurance de base SWICA ont fortement augmenté au cours des quatre dernières années, en particulier en ce qui concerne les médicaments.

Les coûts liés à la santé augmentent régulièrement. C’est important, en particulier pour le calcul des primes. L’analyse de l’évolution pour les assurés de base chez SWICA entre 2018 et 2022 indique une hausse de 12,8 %. En 2022, SWICA a dépensé 32,50 francs de plus par mois et par personne assurée qu’en 2018.

Le coût des médicaments constitue une large part de l’augmentation des coûts. Avec 4,3 %, leur croissance représente près d’un tiers de l’augmentation des coûts totale. SWICA a dépensé environ 10,90 francs par personne et par mois pour des médicaments. Les traitements médicaux ambulatoires ont constitué le deuxième facteur, suivis des traitements hospitaliers ambulatoires et des traitements psychiatriques ambulatoires.

Le graphique de droite présente l’ensemble des augmentations de coûts et leur répartition sur les huit principaux facteurs de 2018 à 2022 par bénéficiaire de l’assurance de base chez SWICA.

06.09.2023


13 % d’augmentation des coûts des thérapies contre le cancer

Depuis quelques années, les prix des nouveaux médicaments de l’industrie pharmaceutique flambent, notamment avec le lancement de thérapies innovantes. Cetteenvolée des prix constitue un défi majeur pour les systèmes d’assurance-maladie du monde entier.

«Zolgensma», une préparation qui freine l’atrophie musculaire des personnes atteintes d’amyotrophie spinale, est le médicament le plus cher jamais pris en charge par les assurances-maladie suisses. Il coûte 2,1 millions de francs par dose. L’augmentation des prix des médicaments est un sujet récurrent, comme en témoignent de récents articles du think tank Avenir Suisse («Un médicament à trois millions de francs?») et du Tages-Anzeiger («Neue Medikamente sind oft nicht wirksam – dafür teurer» / «De nouveaux médicaments pas forcément efficaces, mais plus chers»). Les thérapies au long cours avec un coût annuel supérieur à 200 000 francs sont de plus en plus fréquentes. Dans le cas des anticancéreux, il n’est pas rare que les frais de médicaments dépassent les 50 000 francs par phase de traitement. Et ces dépenses ne couvrent qu’une partie du traitement. 

Cette évolution se reflète également dans les dépenses de l’assurance obligatoire des soins (AOS) de SWICA. De 2021 à 2022, les dépenses pour les médicaments retirés en pharmacie ont ainsi bondi de 8,8 %, alors que les dépenses totales de l’AOS ont augmenté de 4,3 % (Rapport annuel SWICA 2022, page 74). Une analyse par groupe de principes actifs révèle une forte hausse des coûts, notamment pour les antinéoplasiques (+ 11 millions de francs / + 13 %), les immunosuppresseurs (+  8 millions de francs / + 7 %) et les antidiabétiques (+ 5 millions de francs / + 17 %). Cette croissance est tirée par les nouveaux médicaments qui ont été soit inscrits sur la liste des spécialités après le 1er janvier 2018, soit remboursés dans le cadre des «exceptions» au titre des articles 71a à 71d de l’OAMal.

09.08.2023


23 311 tonnes de CO2

Les hospitalisations évitables en Suisse génèrent en moyenne 23 311 tonnes de CO2 par ansoit l’équivalent, en matière d’émissions de CO2d’environ 11 655 vols aller-retour en classe économique entre Zurich et New York.

Une étude réalisée par SWICA en collaboration avec la fondation myclimate a cherché à déterminer la quantité de CO2 émise chaque année en Suisse par les séjours hospitaliers dits évitables. Selon une analyse de l’OCDE datant de 2017, 20 % des prestations de santé des pays industrialisés sont inefficaces ou excessives. Les hospitalisations de personnes atteintes de maladies chroniques, qui pourraient en principe être évitées grâce à une prise en charge optimisée dans le cadre des soins ambulatoires de base, en sont un exemple.

L’étude a combiné le nombre d’hospitalisations en Suisse pour angine de poitrine, insuffisance cardiaque, maladie pulmonaire chronique obstructive, hypertension artérielle ou complications liées au diabète sucré avec des analyses réalisées antérieurement sur la consommation de CO2dans les hôpitaux suisses. Les résultats ainsi obtenus ont ensuite servi de base pour calculer la quantité de CO2 générée chaque année par les hospitalisations évitables. 

Il en ressort que les hospitalisations évitables ont donc non seulement des répercussions importantes sur les patientes et patients et les finances, mais également un impact négatif sur l’environnement. Les hospitalisations évitables ne représentent certes qu’une infime partie du gaspillage qui touche le secteur de la santé. L’analyse montre toutefois que l’optimisation des soins de base, le renforcement de la prévention, l’intensification de la collaboration entre les différents prestataires de soins et le renforcement des compétences des patientes et patients dans le sens des soins intégrés permettent non seulement d’obtenir de meilleurs résultats thérapeutiques, mais aussi d’économiser des quantités considérables de CO2.

07.07.2023


78 % des malades chroniques choisissent un modèle d’assurance alternatif

Les modèles d’assurance alternatifs comme les modèles classiques des médecins de famille, les modèles basés sur des centres de santé ou la télémédecine sont bien établis dans l’assurance de base en Suisse. Les primes de ces modèles sont moins élevées, ce qui peut inciter à penser qu’ils sont avant tout choisis par des personnes assurées jeunes et en bonne santé dans l’optique de faire des économies. Cependant, cette hypothèse peut aujourd’hui être réfutée.

En 2022, 78 % des clientes et clients SWICA souffrant d’une maladie chronique avaient déjà choisi ce type de modèles. Ils avaient une bonne raison à cela: SWICA et ses partenaires de distribution élargissent en permanence leurs offres de suivi continu et de soutien sur l’ensemble du parcours de soins.

01.06.2023


5 % des personnes assurées prennent un médicament antidiabétique

En 2021, 5 % des personnes assurées en Suisse ont pris au moins un médicament antidiabétique.

Le diabète mellitus est une maladie métabolique chronique qui se traduit par un taux de sucre trop élevé dans le sang. Cela nuit aux vaisseaux sanguins et au système nerveux. Afin d’éviter des séquelles graves et des restrictions de l’autonomie et de la qualité de vie, les diabétiques ont besoin d’une prise en charge optimale. Le rapport SWICA «Coup de projecteur» met en lumière des concepts structurés de traitement du diabète et montre comment les patientes et patients en bénéficient.

10.05.2023


272 cas de Covid long

Entre le 1er janvier 2020 et le 1er février 2023, 272 cas de Covid long ont été déclarés chez SWICA. Comparés aux dizaines de milliers de cas de prestations déclarés chaque année à SWICA en sa qualité d’assureur d’indemnités journalières maladie, ce chiffre est heureusement très faible.

Le Covid long est le terme courant utilisé pour désigner les conséquences persistantes d’une infection au coronavirus.  L’OMS parle ici d’«affection post-Covid-19», affection qui implique la présence de symptômes trois mois après une infection confirmée au coronavirus, que ces symptômes durent depuis au moins deux mois et qu’ils ne puissent pas être expliqués par un autre diagnostic. Les symptômes les plus courants d’une affection post-Covid sont une grande fatigue, un épuisement et une intolérance à l’effort, un essoufflement et des difficultés respiratoires, des problèmes de concentration et de mémoire. D’autres symptômes peuvent également être observés, comme des maux de tête, de la toux, une perte de l’odorat et du goût, des troubles du sommeil et de l’anxiété, une fatigue musculaire, des douleurs dans la poitrine ou des éruptions cutanées. Même après avoir dépassé le stade de l’infection aiguë, les personnes atteintes de Covid long ont souvent du mal à gérer leur quotidien.

Pour soutenir les personnes concernées dans les domaines de l’activité physique (le plus souvent le pacing, c’est-à-dire la régulation des mouvements), de l’alimentation et du bien-être psychique, y compris la gestion des troubles du sommeil, des douleurs, mais aussi des états dépressifs, de l’anxiété ou du stress, santé24, le service de télémédecine de SWICA, propose un programme d’accompagnement télémédical spécial Covid long (en allemand et en anglais uniquement). De plus amples informations à ce sujet sont disponibles dans le Business Blog SWICA.

03.04.2023


Chaque année, 4 personnes assurées chez SWICA sur 1000 se font poser une prothèse de hanche ou de genou

Les interventions chirurgicales les plus fréquentes en Suisse sont celles qui concernent le système musculosquelettique. La Suisse se classe parmi les premiers pays de l’OCDE quant au recours aux prothèses de hanche et de genou.

Même si ce sont aujourd’hui des interventions de routine standardisées, elles demandent de l’expérience et de la minutie: non seulement lors de leur réalisation et du choix précis du mode opératoire, mais aussi lors de la détermination de la date de l’intervention, afin que celle-ci soit le plus profitable possible pour les patientes et patients concernés.

SWICA est attachée à la rémunération des interventions sur la base des résultats individuels. L’accent est ainsi mis sur la qualité, du point de vue de la patiente ou du patient. En savoir plus sur la Patient Empowerment Initiative

01.03.2023


16 pour cent de la population prend des antibiotiques une fois par an

L’augmentation de la résistance à ces médicaments signifie que les bactéries se défendent mieux; les traitements des maladies qu’elles induisent durent donc plus longtemps ou deviennent même inefficaces. Et chaque recours aux antibiotiques favorise l’apparition de bactéries résistantes.

Pour cette raison, SWICA s’engage en faveur d’une utilisation raisonnable et pertinente des antibiotiques, notamment en collaboration avec l’Institut bernois de médecine de famille (BIHAM) et le groupe Medbase (vers le projet).

16.02.2023

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